2/22/2011

Vapor love.

magnolia on campus at SNU
Look up, I am there, in front you, roll up,
A convulsive shudder embrace the lights,
Creamy kiss of gold into the ink flowing,
Your body spent the night in a letter written by myself.

Sigh now water tender pleasures,
A heavenly kingdom! A divine phenomenon
The extreme orgasm that finally welcomed 
Time, the worship of a patron Olympian!

The chip stills plunges me in my sweet summers,
And I Killed my eyes with my reminiscences, 
The human race is immortal host of the damned
The unspoken rambling hope rests.

Notes with hints of my noble seasons
It's a salamander in the mind of Adrianople's
Time to regroup and my horizons
Blossom and salt water from a sea green.

When lingers over a blue sky winters,
I hear love and its delicate orchid 
Wild disguise my fears, the whole universe
Hear our beautiful harmony de-watered.

The foehn is pure balm quietly stroked
The fabric of his body in the candor of the ages
The hearts beat when the blandishments drinks the night
They could hope with all their tapping.
  
Trans. by Helen Ree 
on Feb. 22, 2011

Vapeurs d’amour.

Lève les yeux, je suis là, par devant, par-devers,
Un frisson convulsif embrasse les lumières,
Onctueux baiser d’or, coule l’encre des vers,
Ton corps passe les nuits dans mes épistolières.

Soupir à présent l’eau des tendres voluptés,
Un royaume céleste ! Un divin phénomène,
L’orgasme extrême enfin que des félicités 
Temporelles, le culte olympien d’un mécène !

L’éclat me plonge encor’ dans mes tendres étés,
Et j’ai tué mes yeux de mes réminiscences, 
La race humaine est l’hôte immortel des damnés,
l'inavoué espoir décousu de silences.

Des notes aux reflets de mes nobles saisons,
C’est une salamandre à l’esprit andrinople,
Le temps de remembrer ainsi mes horizons,
Et fleurir l’eau aux sels d’une mer de sinople.

Quand s’attarde un ciel bleu au dessus des hivers,
J’entends l’amour et sa délicate orchidée 
Sauvage maquiller mes peurs, tout l’univers
Écoute notre belle harmonie exondée.

Le foehn d’un pur dictame a caressé sans bruit
L’étoffe de son corps dans la candeur des âges,
Les cœurs battent quand la blandice boit la nuit,
Ils versent l’espérance avec tous leurs gemmages.

James le 2/2/2011

댓글 1개: